Lors de mon stage Eramsus en Irlande, nous étions bien héberger ,nous avions deux chambres et une douche pour nous, on mangeait très bien et la mère de famille nous préparait chaque matin un pique nique pour le midi , nous étions trois filles pour notre stage professionnel à l’étranger.
Notre famille d’accueil était super. J’ai fait mon stage dans une entreprise de paysagiste . Notre maître était plutôt gentil mais nous ne l’avons pas vu très souvent car il est très occupé mais il laissait des directives pour nous à son adjointe. Je conseillerai cette belle expérience à l’étranger, cela permet d’améliorer son niveau de langue, de faire de belles rencontres professionnelles et de découvrir une nouvelle culture.
Mon stage s’est déroulé dans une entreprise de travaux paysager en Irlande. J’ai beaucoup appris et à titre personnel,je sais maintenant que l’anglais est une langue que j’apprécie beaucoup et que je suis capable de tenir une conversation entière, sur des sujets variés.
Je vais réinvestir ce que j’ai pu découvrir dans mon futur métier. Et grâce à mon stage professionnel à l’étranger , je pense correspondre davantage aux profils que recherchent les écoles qui me mèneront vers mon projet d’avenir.
Je suis partie à Cork en Irlande du 17 juin au 12 juillet 2019 pour un stage dans un centre équestre . Ce stage s’est très bien déroulé, au début, j’étais très nerveuse, je ne savais pas si les personnes dans mon stage allaient être gentils, comment ma famille d’accueil allait être ou si mon trajet pour aller au travail allait être long.Mais quand je suis arrivée à Cork, toutes ces inquiétudes ont disparue Le travail m’a vraiment plu lors de ces quatre semaines, j’ai eu l’occasion de beaucoup pratiquer mon anglais. Comme c’est un centre équestre, il y avait beaucoup de choses à faire, nettoyer les boxes, préparer les chevaux pour les entraînements , les nourrir, gérer un Pony Camp , les groupes d’étudiants pour les cours d’équitation…
Lamia Latiri-Otthoffer est aujourd’hui ingénieure de recherche au CEZ de Rambouillet plus précisément au département 3DFI.
Elle est partie une semaine en Italie dans le cadre du Consortium Erasmus+, elle n’a pas choisi d’effectuer une mobilité « standard ».
Pourquoi avez-vous décidé d’effectuer une mobilité de formation ?
Je suis partie avec 3 objectifs très précis : tout d’abord, le stage que j’ai suivi était axé sur la création d’une éco-région. Ensuite, j’ai donné 6 h de cours ( 4 en anglais et 2 en italien ) car j’étais invitée en tant qu’experte en agro-écologie et écologie du paysage. Dernier aspect, nous sommes entrain de monter un nouveau projet Erasmus donc j’avais besoin de rencontrer mes homologues italiens, espagnols et portugais avec qui nous sommes en partenariat.
Pourquoi l’Italie ?
Le choix s’est fait naturellement car le stage était donné au siège de l’association Inner basée à Naples. Il faut savoir que l’Italie est un pays précurseur en matière de « bio-districts » car il y a déjà 14 éco-régions là-bas ! Il s’agit de territoires entiers dédiés à l’agriculture biologique et le projet de territoire s’articule autour de ce mode de production. Des contrats sont passés entre les éco-régions et les communes qui développent des politiques publiques à partir de l’agriculture biologique.
Quel était le public de ce stage ?
Il y avait 20 personnes de différents pays : Espagne, Italie, Portugal, et même Nouvelle Zélande , intéressées par la démarche des italiens qui se sont saisis du programme « stratégie Europe 2020 »du plan de l’Union Européenne en faveur de la croissance et de l’emploi. Par exemple dans ce programme, la France ne s’est pas du tout positionnée de la même façon. En ile-de France, c’est « le grand Paris » qui apparaît comme éco-région alors que le projet n’est pas du tout axé sur l’agriculture et la biodiversité.
Il y a un projet comparable aux éco-régions italiennes en France dans la Drôme, la bio-vallée.
Quel regard portez-vous sur l’ambiance de travail en Italie ?
Je trouve qu’ils ont un état d’esprit beaucoup plus détendu qu’en France ! Ce qui ne les empêche pas d’être efficaces ! Ils fonctionnent avec davantage de souplesse qui leur permet de connecter plus facilement les projets entre eux.
Un souvenir ?
Je garde un excellent souvenir de l’ambiance du stage et je n’ai qu’un objectif : repartir ! Je souhaite en effet participer au symposium sur les éco-régions organisé en juillet prochain au Portugal pour non seulement découvrir les projets des éco-régions portugaises mais également poursuivre le travail avec les collègues européens autour du projet que nous avons construit et qui sera déposé en mars prochain.
Les deux jeunes filles étudiantes au lycée de la Bretonnière sont parties dans le Sud de l’Espagne grâce aux bourses du Consortium Erasmus + d’Île de France Eliseea. Elles sont revenues enchantées de leur séjour et n’ont qu’une envie : repartir !
Tout d’abord, leur rôle d’assistantes linguistiques au Centro Ingles, un superbe établissement privé espagnol (qui accueille des élèves de 2 ans jusqu’au Bac) leur a beaucoup plu. Elles donnaient des cours de français à des enfants âgés de 2 à 9 ans tous heureux de venir à l’école ! Il faut dire que l’établissement avait des « arguments » : moultes installations sportives , une piscine, produits frais à la cantine, pratiques pédagogiques innovantes… Qui dit établissement privé dit établissement payant et cela, Lisa et Léa l’ont bien compris : le fonctionnement n’est donc pas le même que leur propre lycée agricole car seule une minorité peut avoir la chance d’accéder à cette école atypique.
Elles ont principalement apprécié leur premier jour de stage où elles se sont senties véritablement bien accueillis, comme si tout le monde les connaissaient déjà ! Et oui, l’accueil chaleureux des Espagnols les a surprises au point de dire à leur enseignante française « Madame, vous vous rendez-compte, ils nous font tous la bise…Même le chef d’établissement ! »
Elles ont fait des découvertes à tout niveau y compris en terme de gastronomique : « nous avions des soupes à chaque repas, de toutes sortes et des calamars excellents à la cantine de l’école ! » En quelques mots, elle resumeraient leur stage professionnel ainsi :
Nos trois semaines ont été intenses, toutes les minutes on avait de nouvelles sensations, on n’avait pas le temps de s’ennuyer! »
Logées en familles d’accueil dans des villas avec deux salons, piscine, salle de bain privative et vue sur mer, les filles ne tarissent pas d’éloges sur leurs conditions d’accueil.
Claudia et Blanca, les élèves de l’école chez qui nous étions hébergées ont été super prévenantes avec nous , elles préparaient tout pour nous, on était de vrais pachas ! »
Je n’ai jamais autant aimé aller à l’Ecole qu’en Espagne » confie Léa nostalgique !
Les deux jeunes filles étudiantes au lycée de la Bretonnière sont parties dans le Sud de l’Espagne grâce aux bourses du Consortium Erasmus + d’Île de France. Elles sont revenues enchantées de leur séjour et n’ont qu’une envie : repartir !
Tout d’abord, leur rôle d’assistantes linguistique dans une super école espagnole leur a beaucoup plu. Elles donnaient des cours de français à des enfants âgés de 2 à 9 ans tous heureux de venir à l’école ! Il faut dire que l’établissement avait des « arguments » : moultes installations sportives , une piscine, produits frais à la cantine, pratiques pédagogiques innovantes…mais un coût également puisque les parents devaient débourser pas moins de 700 euros par mois pour y scolariser leur enfant.
Nos trois semaines ont été intenses, toutes les minutes on avait de nouvelles sensations, on n’avait pas le temps de s’ennuyer! » Elles ont fait des découvertes également au niveau gastronomique :
nous avions des soupes à chaque repas, de toutes sortes et des calamars excellents à la cantine de l’école ! »
Logées en familles d’accueil dans de grandes villas avec deux salons, piscine, salle de bain privative et vue sur mer, les filles ne tarissent pas d’éloge sur leurs conditions d’accueil.
Claudia et Bianca, des élèves de l’école (qui va jusqu’à l’équivalent du bac) chez qui nous étions hébergées ont été super prévenantes avec nous , elles préparaient tout pour nous, on était de vrais pachas ! »
Je n’ai jamais autant aimé aller à l’Ecole qu’en Espagne » confie Léa nostalgique !